Egalité et Réconciliation
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Les plus beaux seins de la télé

Quand le décolleté devient une arme de distraction massive

Delphine Ernotte, la boss du service public audiovisuel, cherche à « diversifier » la présentation du 20 Heures. Les « hommes blancs de plus de 50 ans » dégagent, aux profit des « jeunes femmes de la diversité  ».
Adieu pâle patriarcat, bonjour féminisme coloré. Trois créatures sont en compétition, une Noire très sensuelle (Kareen Guiock), une algéro-vietnamienne très girly (Émilie Tran Nguyen), et une Indienne déjà en poste (Patricia Loison sur Soir 3). En outsider, Marie Drucker, la « nièce de », qu’on ne présente plus, et qui change régulièrement de petit ami dans Voici, histoire de rester dans la course.
En réalité, cette poussée de jeunisme féministe cache une raison un peu moins antiraciste : il faut récupérer les jeunes partis sur le Net, et un JT féminin attire plus de femmes... et donc d’acheteuses potentielles susceptibles d’être touchées par la pub avant et après la tranche 20h-20h30. Ce que l’annonceur veut, Dieu le veut.

Voici les outsiders Kareen et Émilie, appelées à remplacer les vieux colonialistes :

 

 

 

Sociologie d’un média de (moins en moins de) masse à bout d’idées et dirigé par des commerçants et des technocrates

Après les César du Cinéma, voici les Nibards de la Télé. Pas de raison qu’E&R ne décerne pas aussi ses récompenses. Comme toutes les corporations ont déjà leur propre cérémonie, il ne restait plus que les femmes de la télé, qui n’ont rien à se mettre sous la dent, à part les 7 d’Or, dont tout le monde se tape. À l’écran, les seins, ça compte beaucoup. Ça fait oublier – ou supporter – les banalités ou les contrevérités proférées à l’antenne. Cet avantage compétitif (à moins qu’un jour les animateurs ne s’en fassent implanter) est utilisé sans vergogne par les ambitieuses. Car ne vous y trompez pas : tous ceux qui veulent montrer leur bobine (et le reste) sont accros à l’image, à leur image, et à la notoriété qui va avec. La décharge d’adrénaline en plateau est une drogue dure.

 

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Laurence Ferrari fait dans le hard news

 

E&R a voulu rendre hommage au talent (mammaire) de nos stars, qui n’est heureusement pas le seul. Enfin, pas toujours. Décrochez vos ceintures, ça va décoll(et)er.

Avertissement : certaines photos ou personnalités ne sont plus toutes jeunes, mais aujourd’hui, la chirurgie, cette amie des femmes, fait des miracles. Et ne rêvez pas, nous n’allons pas tout montrer, il s’agit quand même d’intimité, et nous avons de la pudeur : pas de Nicki Minaj ici. En revanche, les décolletés, très politiques, sont autorisés. Car la femme de télé compte d’abord sur son sex-appeal (des pieds à la tête, des cheveux au Mules) pour conserver l’attention du téléspectateur.
Et les téléspectatrices ? C’est bien connu, les femmes aiment regarder les autres femmes, pour les juger (beaucoup plus finement que les hommes), et éventuellement, les démolir. Sur un détail, une ridule, un couac. Nous n’irons pas jusque-là, et vous présentons maintenant le Top 20 de la télé française. L’ordre qui suit ne porte ni sur le volume, ni sur l’esthétique.

 

L’animatrice productrice

Rare, c’est un job de mecs, qui en plus sont prêts à tuer pour l’obtenir ou le conserver. Les femmes, pourvues de moins d’agressivité prédatrice par la Nature, sont défavorisées dans cette course. Mais la parité légale et la pression médiatique ont poussé toute une génération de femmes sur le devant des plateaux. Le temps des William Leymergie entourés d’une nuée de secrétaires-chroniqueuses soumises semble révolu. Ici, Mélissa Theuriau, ex-bimbo de M6 devenue productrice et réalisatrice de documentaires plutôt bien-pensants. Une madame Debbouze toujours sexy mais sobre : elle ne peut pas se permettre de déconner avec son image, il y va de sa crédibilité.
Lors de la soirée de la Fête de la Musique sur France 2 en juin 2013, Patrick Sébastien s’était permis quelques propos déplacés à côté d’Aïda Touihri. Elle n’a pas goûté les plaisanteries qu’elle jugeait salaces, et l’expérience de coanimation bourrin/beurette ne reviendra probablement plus à l’antenne. Conclusion : pas d’exacerbation des caractères spécifiques féminins. La surexposition rhabille les femmes et planque les poitrines. Mais certaines n’ont rien à perdre, et passent outre.

 

La hors-concours

Faux seins énormes, postures outrancières, provocation de caniveau, les deux ultras blonde et brune des chaînes privées NRJ12 et TF1 ne peuvent concourir dans la très sérieuse catégorie des Nibards d’Or. Il est trop facile d’entrer « normale » chez un chirurgien séfarade du bas des Champs-Élysées, et d’en ressortir bombe sexuelle. Le peuple, qui ne s’y trompe pas – femmes comprises – assimile ces créatures modelables à des néo-prostituées. Elles répliquent qu’il ne s’agit que de second degré. Ainsi, une Géraldine Muhlmann affole-t-elle à sa manière les compteurs masculins en se situant sur un plan intellectuel, et non pas pré-horizontal. La difficile conquête, implicite, n’en est que plus excitante. Bref, dans cette catégorie des bimbos en plastoc, on a Nabilla, la femme au couteau, et Victoria, comparse de Dechavanne dans ses émissions de divertissement. La femme du magicien qui sert à détourner l’attention pendant le coup de Jarnac.

 

L’intellectuelle

L’intellotte de la télé désire deux choses, qui ne sont pas forcément compatibles : être prise au sérieux, et être prise tout court. Prise au sérieux, et regardée comme un être désirable. Crédibilité, et féminité. Cela demande un certain art de l’équilibre. L’air de pas y toucher (au sexe) tout en le suggérant fortement. On peut dire ce qu’on veut, mais les femmes excellent dans ce sport un brin lubrique. À côté, les hommes sont des bœufs… fascinés par des gazelles. Géraldine Muhlmann, avec son agrégation de philo et son look de tenancière de galerie à Saint-Germain, allie ces deux qualités. Dotée d’un tel minois, Géraldine n’a pas vraiment besoin de montrer de la chair. La nec plus ultra : celle qui montre rien. Il faut tout deviner. Idéal pour les masos ou les soumis.

 

La politique

Face à un public de grands patrons et de politiques, le sein ne se montre pas. Eu égard aux goûts d’hommes plus mûrs, qui lorgnent plus vers les jambes et les pieds, un effort particulier est porté vers le bas du corps. La sobriété étant de mise en haut, on retrouve l’impératif sexy plus bas : pompes adaptées qui étirent la jambe, déjà allongée par une jupe plutôt courte. Objectif : fasciner le cochon qui sommeille en tout homme politique, et l’attirer sur un terrain plus familier, où la petite phrase pourra tomber plus facilement, et faire le tour des revues de presse radio/télé. Technique éprouvée. Attention à ne pas s’habiller en courtisane devant un homosexuel ou un pédophile, coup d’épée dans l’eau assuré, et mépris garanti. Spécialiste numéro un des jeux de jambes : Caroline Roux. Qui doit avoir une garde-pompes équivalente à celle de Céline Dion (3 000 paires). Il y a des femmes folles de chaussures. Mais aussi des hommes fous de femmes folles de chaussures. Tous les goûts sont dans la nature.

 

 

Lapix, elle, a connu un certain succès sur Canal et Dimanche+, avant de cartonner dans C à vous sur France 5. il est vrai qu’elle cumule : visage avenant, regard coquin, poitrine agressive, silhouette sportive, et tenues dangereuses à la limite du porno-chic. Une combinaison gagnante, surtout depuis qu’elle a lâché le tout-politique pour le divertissement. Malheureusement, une émission gâchée par Patrick Liste Noire Cohen, le grand journaliste impitoyable avec les mères de victimes d’attentat en quête de vérité, mais ce n’est pas le débat.

 

La présentatrice de journal

Devant 5 à 6 millions de téléspectateurs, on ne peut pas, comme cette Albanaise, exhiber le matos. Le statut de femme-tronc exige de la tenue, et une poitrine naturelle, si possible pas trop stimulante. La minceur est de rigueur. Une vache laitière au 20 Heures déclencherait les quolibets déplacés, et détournerait la noble fonction informative vers quelque chose de moins prestigieux. C’est pourquoi la présentatrice idéale est dans la quarantaine, le lifting invisible, pour faire plus dame que les pouffiasses jetables de télé-réalité. Dame patronnesse, est le mot, même si ça peut virer à la tata XVIe. Les Français ont besoin d’une figure maternelle – que Béatrice Schönberg incarnait parfaitement.

 

Dans le même registre, la Chazal était un peu trop cuir pour devenir la reine-mère des Français. Et puis, afin de relancer le désir et entretenir son fan-club (les gays l’adorent, comme toutes les cougars chics), il y a la sempiternelle paparazzade d’été, avec un jeune giton de préférence. Notez que la présentatrice se doit d’être sexuelle, mais pas de manière primitive. La tendance « crédible » doit l’emporter sur la tendance « bonnasse ». Sinon c’est foutu. Il faut dire que les mecs sont graves, avec ça. Le moindre écart sexuel, et tout l’effort de solennité est réduit en bouillie.

 

La vieille (présentatrice)

La banquière de DSK a longtemps joué de ses charmes, en et hors plateau. Habituée des soirées TF1 et des soirées mondaines, comme la brigade du même nom, Anne a plus joué de ses yeux de chatte que de sa poitrine, planquée bien au chaud sous ses pulls angora. Aujourd’hui, à 60 balais passés, elle ne se refuse aucune plastique, et si elle n’apparaît plus sur nos écrans, elle occupe le Net avec son HuffPost. Parfois, Le Grand Journal l’appelle pour commenter la dernière semaine électorale américaine, et proférer quelques vérités puissantes du genre : « Obama peut gagner, mais Mc Cain aussi. »

Claire Chazal reprendra le flambeau d’attachée de presse de la première chaîne d’Europe. Diplômée HEC rapidement repérée par un renifleur de talents (Philippe Tesson), Claire présentera les JT pendant près d’un quart de siècle, jouant de son look de dominatrice qui affole le prolo. La voix grave jusque qu’il ce faut pour jouer sur l’ambiguïté. Beaucoup regarderont les infos (creuses) de la Une en rêvant de posséder cette speakerine de luxe.

 

La branchée

Le problème, quand on est un produit dit « branché », c’est qu’on se débranche très vite. Maïtena Biraben, qui était la reine de la matinale de Canal, en a fait l’amère expérience en arrivant sur l’access, comme on dit. Ce sont les juteuses minutes avant le pic d’audience, entre 19 et 20 heures, sur lesquelles les chaînes se disputent les annonceurs et leurs spots rémunérateurs. La talentueuse Suissesse, « découverte » par Ardisson et « appréciée » par Hollande, paye les (s)pots cassés d’un changement de mode de consommation de l’écran et aussi d’une politique suicidaire de ses employeurs. Les dernières traces de subversion ayant disparu sur la chaîne, cette dernière ne peut même plus faire semblant d’en être la matrice, à l’heure de la concurrence de l’Internet. Il faut être vrai, ou disparaître.

 

La nature (ou popu)

Des qui sont vraies, ce sont les deux grosses Christine Bravo et Valérie Damidot, avec leur langue bien pendue. Incarnations de la Française décoincée, qui envoie chier hommes et femmes avec le même tarif : une vanne dans la gueule. Comme la bonne nature va avec les gros nichons, on retrouve dans ce panier les poids lourds du genre. Ce ne sont certes pas des intellectuelles majeures (même si elles surjouent les bonnes filles), mais elles plaisent à la France profonde, et au blaireau grivois qui sommeille en chaque homme. Peut-être imaginent-ils des croisements femme-génisse en les regardant… Soyons sérieux, les « grosses » de la télé savent très bien mettre en valeur ces atouts que sont les formes, et leurs adeptes sont nombreux. N’oublions pas qu’elles ne constituent pas des rivales dangereuses pour les femmes : elles sont donc, selon le verbiage du milieu, fédératrices, ou non-clivantes.

 

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Valérie Damidot en pleine action (malheureusement, l’émission n’a pas tenu, on ignore pourquoi)

 

C’est en vérité dans le stock inépuisable et renouvelable de chroniqueuses qu’on peut pêcher du lourd, question décolletés et provocation. Moins exposées, elles tentent leur chance en exploitant à mort leurs atouts naturels (exemple, les Miss météo de Canal) dans la mince fenêtre de tir qui leur est impartie. D’où cette lancinante impression d’agression sexuelle que peut ressentir le téléspectateur à leur contact.

Les chroniqueuses

Interchangeable, nombreuse, concurrentielle, à durée de vie limitée, à moins qu’elle n’accède au rang envié d’animatrice, la chroniqueuse fait le sel d’émissions de plus en plus plates et pénibles. On y retrouve toute la gamme, de la gonzesse brillante (l’excellente Clara Dupond-Monod à la Littérature) à la pure radasse de plateau, juste bonne à gifler (Énora Malagré). Il est rare qu’on y trouve un boudin, à moins qu’il ne propose un intérêt éditorial poussé, et que les producteurs n’aient pas trouvé l’équivalent regardable. Ainsi, on a pu découvrir l’anti-bimbo absolue Marie Colmant, une ex-rédactrice en chef de Télérama, assurer la rubrique internationale dans l’équipe de Bruce Toussaint. Donc que les pas-belles se rassurent, il n’y en a pas que pour les tops models. Une moche peut impacter en termes de... proximité. La tyrannie des belles admet quelques exceptions.

 

La vulgaire

Championne toutes catégories, la Bretonne Malagré, co-star de TPMP, la quotidienne du vendeur de chaussettes (trouées) Cyril Hanouna. Grossière, inculte et agressive, elle joue le rôle de roquet du patron, la secrétaire qui défend bec et ongles son dieu. Ses interventions truffées de cul et de gros mots sont des tue-l’amour de premier ordre. L’effet de ces femmes hippies sans pudeur qui se baladent à poil du matin au soir et qui anéantissent tout désir. Rendez-nous Christine Boutin !

 

La mordante

C’est la « péteuse de décolleté » qui monte. La chienne (au vrai sens du terme, attention) que Ruquier lâche sur ses invités quand ils déroulent une promo ou un discours lénifiant dangereux pour l’audimat. Appelée à coprésenter la grande émission politique de France 2, avec et ensuite à la place de Pujadas, jugé pas assez sioniste par la paire BHL-Field, elle devra faire semblant d’attaquer tous les candidats tout en évitant de parler de l’essentiel. On lui fait confiance : la belle est aussi astucieuse qu’ambitieuse. Et cela ne nous étonnerait pas qu’elle finisse par s’acoquiner avec un politique de poids...

 

La drôle

Virginie Efira a largué la télé pour le cinéma, où elle semble s’amuser. Il est vrai que son expérience d’humoriste sur Canal, malgré un salaire exorbitant, a tourné court. Virginie, c’est la bonne copine pas farouche, du coup on oublie parfois la femelle aux appétissants appâts. Qu’elle n’oublie pas de montrer. Potelée, souriante, brillante, féministe mais pas trop, on ne lui connaît pas d’ennemis. Peut-être que les Caroline Fourest doivent la détester...

 

La déconneuse

Julie Raynaud, la brune de TPS qu’on voyait passer un peu dans toutes les émissions de plateau, avant que la chaîne de TF1 ne soit rachetée par Canal+. Julie, son rire, et, excusez l’expression, ses gros seins. Elle ne se cachait pas de cela, et le réalisateur de ses émissions non plus. Que ce soit du sport, de l’info ou du divertissement, elle avait toujours la tenue adéquate. À ce niveau de volume et d’exhibition, on aurait presque pu la faire tomber pour délit de racolage sur la voie publique. Mais curieusement, personne n’a jamais porté plainte.

 

La provocatrice (pour adultes)

Faustine Bollaert, dans le genre bustée, c’est pas mal aussi. On va arrêter de prendre des gants, parce que elles n’en prennent pas beaucoup non plus. Atout charme des dimanches après-midis chez Drucker, elle devait provoquer le mâle, que ce soit l’invité ou le téléspectateur, mais avec les limites autorisées par le maître de cérémonie. Par exemple, les interventions d’une Malagré seraient malvenues chez Mimi. Il faut du sexe, mais dans une enveloppe acceptable, car les familles regardent. Donc second degré, allusions voilées, quenelles discrètes...

 

La sportive

Malika Ménard, ex-miss France 2010, brune de Normandie à la fois mince et plantureuse, devenue journaliste foot pour France 3, on la voit ici participer à un Fort Boyard. Elle a notamment écrit une lettre à Robert Ménard, parce qu’elle ne voulait plus qu’on la croit parente du vilain maire de Béziers. Un courage sans nom.

 

La « info »

Magali Lunel faisait partie de ces « filles de l’info » chères à Jean-Claude Dassier, qui a dû piquer le concept aux Américains. Un gang de nanas à la fois professionnelles et attirantes, pour lancer la première chaîne tout info française. LCI aujourd’hui va passer en gratuite, et les filles de Dassier auront fait du bon boulot. Il y avait la blonde, la brune, la Noire, la glaciale, la chaude... Magali, c’était la mûre aux charmes épanouis. Un casting de Claudettes.

 

La sioniste

Elsa Fayer a fait pendant cinq saisons partie de la bande à Ruquier, dans son émission quotidienne On a tout essayé. Elle y défendait Israël avec toute la force de ses petits poings et de ses seins en poires. N’ayant rien de plus à dire, elle n’a pas hésité à poser nue (pour Entrevue). Du coup, ses interventions sont devenues nettement plus intéressantes, pour le téléspectateur moyen.

 

L’orientale

Sonia Mabrouk, l’orientale du lot. Grosse bouche peinte, regard trouble, chevelure très reine de Jordanie, un personnage féminin qu’on croirait tiré d’un SAS de Gérard de Villiers ! Le vieux cochon – paix à son âme – aurait apprécié les formes et l’assurance de l’intervieweuse de la chaîne parlementaire (LCP), qui est malheureusement aussi la voisine d’Haziza, dit Fredo-la-procédure. Mais peut-être cette femme très appréciée des politiques est-elle une espionne... dans le genre Mata Hari... On propose donc, pour le prochain SAS post-mortem, Sonia, la tueuse plantureuse du Hezbollah !

 

La cinéma

Élise Chassaing avait la lourde charge de parler de cinéma dans la seconde partie du Grand Journal de Canal+. Son mélange d’Auvergnat et d’Algérienne a fait fureur le temps d’une saison, la brunette ne laissant pas les invités indifférents. Mais elle n’était pas suffisamment vulgaire pour le job, et a poursuivi une carrière moins centrée sur sa plastique, plus sur ses chroniques. Elle a même traversé Touche pas à mon poste, mais on fait tous des choix inexplicables.

Ces icônes médiatiques sont les femmes modèles du Système, voir sur E&R :

 
 






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105 Commentaires

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  • #1433390
    Le 1er avril 2016 à 13:41 par Ariane
    Les plus beaux seins de la télé

    Tout à fait mal sein...

     

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  • #1433432
    Le 1er avril 2016 à 14:36 par Sedetiam
    Les plus beaux seins de la télé

    Ne pas négliger les rois de la bricole avec l’atelier déco sur la 2 (me semble-t-il).
    Avec les accidents domestiques qui représentent 60 % des morts au regard des accidents de la vie courante, la belette jupe courte et décolleté endort l’auditoire en guidant une équipe de bras cassés quant aux normes en vigueur et autres protections "obligatoires" lors de l’utilisation de machines outil : lunettes, gants, etc.
    Engendrant autant d’aficionados du service des urgences du Dimanche !
    Ah, il a le dos large le panel qui baille aux beaux Seins qui prêchent Thôt "tout art"...

     

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  • #1433546
    Le 1er avril 2016 à 17:23 par Pierre-Albert Espénel
    Les plus beaux seins de la télé

    « Ils sont trop verts et bons pour des goujats »
    Si c’est critiquable à ce point pourquoi persister à regarder la télévison ?
    Revendez-la et cultivez-vous à la place. Lisez Céline, Dumas ou Cendrars.

     

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    • #1433696
      Le Avril 2016 à 19:59 par Sedetiam
      Les plus beaux seins de la télé

      Pour ma part, à l’heure de la re_création entre deux études, je prendrais bien une chair rasade de Virginie Efira : tout n’étant que vibration, la petite étant quelque peu drolatique, elle peut offrir, autour d’un rire, le soubresaut qui ouvre à la contemplation...quand d’autres pouffent.

       
  • #1433587
    Le 1er avril 2016 à 17:57 par Jérôme2709
    Les plus beaux seins de la télé

    Tout m’a bien fait rire, surtout l’expression "femme-tronc". Parce que s’il y a segmentation du marché, il y a aussi segmentation corporelle. En général la femme-tronc a un séant qui "ne passe pas la Porte d’Aix". Lorsqu’on voit par hasard des photos en pied, à l’occasion d’une soirée people obligatoire chez Marek Halter ou d’une projection de navet au Festival de Cannes, on découvre qu’il y a eu discrimination physique à l’embauche. L’illusion d’optique vaut également pour les hommes. Avant de voir l’image d’Haziza faisant une aile de pigeon dans le tibia du garde du corps de Dieudonné, j’avais l’impression qu’il était grand et costaud comme Goliath, à cause de la célèbre photo où on le voit faire élégamment un doigt d’honneur derrière une murette.
    En tout cas c’est marrant qu’on nous parle de tolérance toute la journée alors que le racisme de la beauté (artificielle) bat son plein.

     

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  • #1434387
    Le 2 avril 2016 à 18:58 par ursus
    Les plus beaux seins de la télé

    Ils ont enfin compris que les femmes étaient capables de faire passer beaucoup plus de sournoiseries que les hommes.. il était temps, un peu plus, on aurait finit par douter de tout ce que disent les médias !

     

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  • #1434787
    Le 3 avril 2016 à 09:45 par réveillez-vous
    Les plus beaux seins de la télé

    Cachez cette info que je ne saurais voir

    Baudruche un jour , baudruche toujours

     

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  • #1434791
    Le 3 avril 2016 à 09:54 par réveillez-vous
    Les plus beaux seins de la télé

    Un conseil , la prochaine fois pour les images d’illustration , mettez les photos des tapineuses sans maquillage , et sans spotlights avantageux...Vous découvrirez le vrai visage des créatures qui vous vendent du rêve...

    https://www.youtube.com/watch?v=JI8...

     

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    • #1444070
      Le Avril 2016 à 14:55 par barker
      Les plus beaux seins de la télé

      Avez vous lu le premier commentaire sous la vidéo postée, tellement raccord, ça m’ a bien fait rire .

       
  • #1436631
    Le 5 avril 2016 à 20:30 par Souch39
    Les plus beaux seins de la télé

    Je n’ai pas tout lu mais la forme y est, c’est sûr !
    Etant donné que votre site doit être consulté (discrètement) par une petite moitié d’entre ces dames (j’écris "dames" pour leur faire un poil honneur), ça doit leur faire bizarre de se regarder en face...

     

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  • #1436879
    Le 6 avril 2016 à 08:59 par Souch39
    Les plus beaux seins de la télé

    NB : Christine Bravo représente pour vous la populo, et je suis d’accord avec vous : il suffit d’entendre les salves de moqueries qu’elle se prend aux Grosses Têtes par la bande (d’enfoirés) à Ruquier...

     

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  • #3308025
    Le 15 janvier à 15:23 par Thémistoclès
    Les plus beaux seins de la télé

    Vous avez oublié la Championne toutes catégories : Evelyne Dhéliat.
    La CLASSE.

     

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